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Google est mort !

C’est une révolution dans la pratique de l’Internet. Le géant Goggle serait en passe d’être bientôt détrôné par l’intelligence artificielle de Perplexity ? Ou comment passer d’un moteur de recherche à un moteur de trouvaille !

A la chaîne Voyage, boulevard Pereire, l’équipe de l’émission « L’heure de partir ».

C’était au 241 boulevard Pereire dans le XVIIe arrondissement de Paris. Dans la vaste salle de rédaction de la chaîne Voyage où j’animais des émissions en direct…

J’étais occupé, sans succès, à chercher des informations sur l’Internet pour une prochaine intervention.

C’était l’époque où en guise de moteur de recherche on utilisait des dinosaures comme Alta Vista ou même Yahoo, avec ses listes de sites établies par des humains (il y avait du boulot !)

C’est alors qu’une de mes consoeurs, native de Belgique, me dit : – Tu as essayé Google ? C’était la première fois que j’en entendais parler et que j’utilisais cette interface « épurée » où je trouvais ce que je cherchais, effectivement.

En quelques mois, ce moteur révolutionnaire était devenu indispensable et pour tout dire, exclusif…

La naissance du géant

A cet endroit de la rédaction de ce papier, Je voulais faire un bref rappel de l’historique de Google avec leurs principales contributions, leurs points forts et faibles. Et, pour qu’on se rende bien compte de l’étendue de la galaxie, établir la liste d’une quinzaine de leurs logiciels courants.

Je savais grosso modo où trouver ces infos mais, quoi de mieux finalement pour cela que d’utiliser Perplexity qui était précisément le sujet de l’article ?

Il s’agit en effet d’un nouveau moteur de recherche basé sur l’intelligence artificielle. Sa version gratuite est à installer dans les signets de démarrage du navigateur, quand il n’est pas destiné à remplacer Google lui-même dans les moteurs de recherche par défaut. C’est simple, rapide et efficace !

Voici donc la requête que j’ai soumis (en français – traduction automatique) et la réponse obtenue en quelques secondes ! Un texte structuré, propre, utilisable en l’état ! On notera également que Perplexity cite ses sources.

« Histoire de Google en 15 lignes suivie d’une liste à puces de 5 points clé d’innovation, suivi d’une autre liste à puces de 5 point négatifs. Suivi des 15 logiciels et services principaux de la galaxie Google ».

L’histoire de Google débute en 1996 lorsque Larry Page et Sergey Brin, deux doctorants de Stanford, développent un moteur de recherche nommé BackRub. En 1998, ils rebaptisent leur projet Google et l’entreprise est officiellement fondée. Grâce à son algorithme PageRank innovant, Google devient rapidement le moteur de recherche dominant. L’entreprise se diversifie au fil des années en lançant de nombreux services comme Gmail (2004), Google Maps (2005) et Chrome (2008). En 2015, Google se réorganise sous la holding Alphabet Inc. Aujourd’hui, Google est l’une des entreprises les plus valorisées au monde, avec des produits utilisés quotidiennement par des milliards de personnes[1][3].

5 points clés d’innovation :
• Algorithme PageRank révolutionnant la pertinence des résultats de recherche
• Modèle économique basé sur la publicité ciblée
• Développement d’Android, système d’exploitation mobile dominant
• Investissements massifs dans l’intelligence artificielle et l’apprentissage automatique
• Projets futuristes comme les voitures autonomes et les lunettes connectées

5 points négatifs :
• Controverses sur la collecte et l’utilisation des données personnelles
• Position dominante jugée anticoncurrentielle sur certains marchés
• Évasion fiscale et optimisation fiscale agressive
• Censure et manipulation potentielle des résultats de recherche
• Dépendance excessive de nombreux utilisateurs aux services Google

15 principaux logiciels et services Google :
1. Google Search
2. Gmail
3. Google Maps
4. YouTube
5. Google Chrome
6. Google Drive
7. Google Docs
8. Google Photos
9. Google Play Store
10. Google Translate
11. Google Meet
12. Google Calendar
13. Google News
14. Google Lens
15. Google Assistant

Citations:
[1] https://fr.wikipedia.org/wiki/Google
[2] https://www.iletaitunehistoire.com/genres/contes-et-legendes
[3] https://premiere.page/blog/google/histoire-de-google/
[4] https://www.brandibay.com/blog/infos/un-apercu-complet-de-l-histoire-de-google-de-ses-debuts-a-aujourd-hui.html
[5] https://www.smart-agency.fr/blog/histoire-fascinante-google-garage-domination-mondiale
[6] https://pedagogie.ac-lille.fr/histoire-geographie/2021/12/28/dix-usages-de-google-earth-en-histoire-geographie/
[7] https://www.youtube.com/watch?v=u3VAUnFuDl0
[8] https://www.lets-clic.com/histoire-de-google/

Voici donc ci-dessous le texte final que j’ai (très) légèrement remanié : on parle de minutes (d’heures ?) de recherches et de rédaction gagnés ! Reprenons le fil de notre article…

La galaxie Google

Larry Page et Sergey Brin, les découvreurs du « Page Rank » et fondateurs de Google…

L’histoire de Google débute en 1996 lorsque Larry Page et Sergey Brin, deux doctorants de Stanford, développent un moteur de recherche nommé BackRub. En 1998, ils rebaptisent leur projet Google et l’entreprise est officiellement fondée. Grâce à son algorithme PageRank innovant, Google devient rapidement le moteur de recherche dominant.

L’entreprise se diversifie au fil des années en lançant de nombreux services comme Gmail (2004), Google Maps (2005) et Chrome (2008). En 2015, Google se réorganise sous la holding Alphabet Inc.

Aujourd’hui, Google est l’une des entreprises les plus valorisées au monde, avec des produits utilisés quotidiennement par des milliards de personnes.

On sait que Google a investi massivement dans un nombre incalculable de startups dans des domaines extrêmement variés en informatique, certes, mais aussi dans les domaines de l’IA, de la robotique, des voitures autonomes, des lunettes et autres accessoires connectés, de l’écologie, de la médecine, du transhumanisme et de la recherche de la vie éternelle…

Côté informatique, Voici quelques-uns de leurs logiciels qui sont devenus d’un usage quotidien. Logiciels et services Google classés par ordre d’importance. La plupart d’entre eux sont gratuits (quand un service est gratuit, c’est vous le produit !) :

L’évolution du logo de la marque…

Google Search (moteur de recherche)
Gmail (client mail)
Google Maps (cartes mondiales interactives)
YouTube (plateforme de diffusion de vidéos)
Google Chrome (navigateur)
Google Drive (sauvegarde « cloud »
Google Docs (ensemble bureautique « cloud »)
Google Photos (stockage et classement d’images)
Androïd (système d’exploitation dominant des smartphones, concurrent d’IOS d’Apple)
Google Play Store (dépots d’applications Androïd, concurrent d’Apple Store)
Google Translate (service de traduction en ligne)
Google Meet (service de chat et video chat)
Google Calendar (calendrier interfacé avec les autres services)
Google News (RSS)
Google Lens (recherche élaborées de photos)
Google Assistant (couteau suisse)

J’utilise aussi tout un tas d’add-ons pour Chrome, d’API pour les sites internet, de l’ensemble de logiciels pour créer et gérer des campagnes publicitaires AdWords, de Google Keep, Google Tasks, sans parler des applis pour ceux qui ont des téléphones sous Androïd (Waze) et les centaines de mots de passe partagés avec d’autres services – le fameux « se connecter avec Google ? » – très pratique en effet mais qui rend captif, Alexa, « Dis Google » et autres bots… Quand on fait le point on se rend compte à quel point on est devenus tributaires (prisonniers) de Google.

L’envers du décor

Jusqu’à présent, j’étais un inconditionnel de Google, séduit sans doute par leur politique de gratuité, cet « altruisme » qui allait si bien avec l’esprit « beatnik » des créateurs. Une de leur devise était même : « Don’t be evil » – ne soyez pas méchant :-). Mais ça c’était avant…

Par exemple, je fais partie des privilégiés ayant adopté Gmail à sa sortie, sur invitation. Et je l’utilise quotidiennement et avec toutes ses fonctionnalités et accessoires, gratuitement. Jusqu’à ce que Google rende ce service payant il y a quelques années.

Comme tout un tas d’autres de leurs services « gratuits », certains intégrés aux sites web de mes clients (API, cartes, etc) alors que l’entreprise devenue tentaculaire croule sous déjà sous les bénéfices. Appétit insatiable, capitalisme forcené, pression des « actionnaires » ?

En tous cas le changement est sensible et beaucoup de ses utilisateurs (dont je fait partie) se sont rendus compte du piège une fois qu’ils étaient tombés dedans. Ce qu’on appelle un marché captif…

Dans le même temps, Google a amassé au fil des ans des milliards de données sur leurs utilisateurs, des informations monnayées au prix fort. Les reproches faits à la firme sont en effet nombreux :

• Controverses sur la collecte et l’utilisation des données personnelles (espionnage)
• Position dominante jugée anticoncurrentielle sur certains marchés (trust)
• Évasion fiscale et optimisation fiscale agressive (tricherie)
• Censure et manipulation potentielle des résultats de recherche (censure)
• Dépendance excessive de nombreux utilisateurs aux services Google (clients captifs)

Perplexity : la fin de Google ?

C’est dans ce contexte qu’est arrivée l’Intelligence Artificielle. Google est naturellement très actif dans ce domaine et tente de faire évoluer son moteur de recherche avec ces nouveaux outils, sans perdre la manne publicitaire des « sites « sponsorisés » qui arrivent en tête de liste : la quadrature du cercle ! Ce modèle économique jadis novateur mais aujourd’hui vieillissant est basé sur la publicité ciblée et a fait sa fortune. Un modèle déjà bien mis à mal par le dévellopement de l’IA.

Car les nouveaux outils arrivent et parmi eux, Perplexity ! Les résultats sont bluffants, sur la plupart des sujets : Perplexity livre, non plus comme les moteurs classiques, une liste de sites qu’il faut lire pour en faire une synthèse, mais un résultat propre, rédigé selon les directives qu’on lui donne, comme on l’a vu plus haut !

Notons qu’au bas de la fenêtre, Perplexity génère même quelques autres questions liées au sujet, donnant lieu à d’autres développements pertinents. C’est même ici que viendront s’insérer prochainement des questions « publicitaires », payées par des annonceurs, un nouveau modèle économique pour financer le bazar.

Cachez moi ces infos que je ne saurais voir !

Il est temps de parler maintenant de la censure de l’information. La « propagande de guerre » et « l’histoire écrite par les vainqueurs » a toujours existé. On se souvient même des « ministères de l’information » sous De Gaulle ou Alain Peyrefitte, à l’époque où il n’y avait en France qu’une seule chaîne d’information télévisée qui était soigneusement contrôlée. Mais il y avait aussi une presse d’opposition. Un quatrième pouvoir…

Aujourd’hui, en apparence, il n’a jamais été aussi facile de communiquer, de s’informer, de s’exprimer. Sur les réseaux sociaux, les forums et autres miroirs aux alouettes. Avec ses charretées de contrevérités, de « fake news » et d’avis définitifs type « café du commerce ». Une raison saisie aussitôt par les pouvoirs du « nouvel orde mondial » pour tenter de contrôler les médias. Pour la presse, les radios et les télés, c’est fait : un petit phalanstère de milliardaires les possèdent tous comme je l’expliquais dans ce billet.

Pour l’Internet c’est plus compliqué mais pas impossible comme nous allons le voir. Le service Rumble (vidéos) a été interdit en France, par exemple ; même si on peut toujours y accéder avec un VPN. Même chose pour les chaînes Sputnik et RT France, bannies par l’Union Européenne sous prétexte qu’elles étaient financées par la Russie. Une décision unilatérale et totalitaire.

Depuis le rachat de Twitter par le milliardaire américain Elon Musk, ce réseau a été tiré des griffes de la CIA et rendu aux utilisateurs sous le nom de X (@LeguenFrancis) – voir les « Twitter Files ». Il y règne, effectivement, la liberté d’expression. C’est même devenu la seule source d’informations fiables et diversifiées au monde. Un service que le petit Kapo européen Thierry Breton rêve d’interdire ! Même chose au Brésil où toutes les activités d’Elon Musk (Starlink, SpaceX et donc X – le but) ont été bannies du jour au lendemain. Sans parler de la messagerie Telegram dont le créateur vient d’être arrêté en France pour l’obliger à donner des accès cachés à sa messagerie sécurisée.

Tout ça pour dire que la censure est en marche et la liberté d’expression plus que jamais menacée, dans l’indifférence presque générale. Aux débuts de l’internet et de Google, on restait souvent ébaubi devant les millions de résultats d’une recherche sur un mot qu’on croyait pourtant rare. C’était à nos risques et périls, sachant que les premiers résultats avaient le plus de chance d’être exacts. C’était à nous de faire le reste du travail, c’est à dire la discrimination et le tri des informations. Toutes choses qui ont disparues aujourd’hui.

Un monstrueux travail d’épuration à été mis en place depuis quelques années par les « GAFAM’s » pour censurer activement les contenus jugés non conformes à la « pensée dominante ». Jusqu’à Mark Zuckerberg (PDG de Meta, Instagram, Facebook) qui, sentant le vent tourner et anticipant l’élection prochaine de Donald Trump, avouait récemment avoir censuré toutes les publications à propos des traitements du Covid, à la demande du gouvernement Biden… Bienvenue dans l’Internet « light » !

La première en France qui a rapporté ce fait était Momotchi, une « lanceuse d’alerte », ingénieur en électronique très active sur X (@mmtchi), comme elle l’explique dans la vidéo ci-dessous.

Ce phénomène est devenu évident depuis l’époque du psychodrame Covid, la « plandémie » connue aujourd’hui comme le plus grand scandale pharmaco-sanito-médiatique de ces dernières décennies…

Pour échapper à ce rouleau compresseur culturel il faut ajouter à la requête une mention booléenne du style : « before date »… On retrouve alors les milliers de pages disparues… Et Perplexity de me souffler le mode opératoire :

Pour accéder au contenu ancien sur Google en utilisant des opérateurs de recherche avancée, vous pouvez utiliser la formule booléenne suivante : votre_requête before:AAAA-MM-JJ

Voici comment l’utiliser :

    1. Remplacez « votre_requête » par les mots-clés que vous recherchez.
    2. Remplacez « AAAA-MM-JJ » par la date limite avant laquelle vous souhaitez obtenir des résultats, au format année-mois-jour.

Par exemple, pour trouver du contenu sur « intelligence artificielle » publié avant le 1er janvier 2020, vous pouvez utiliser :intelligence artificielle before:2020-01-01

Censure active et passive

Dans ce domaine il faut distinguer deux types de censure. L’active, celle des gouvernements, des services « secrets », des pouvoirs, enfin ; telle qu’on peut la voir sur Wikipedia (contrôlée de l’aveu même de ses créateurs par la CIA et le FBI), avouée sur Facebook et autres pompes à cash de chez Meta, soupçonnée et constatée chez Google (moteur de recherche, YouTube…) Dans ce cas les directives viennent « d’en haut » ; de ce qu’il est convenu d’appeler « l’état profond ».

En ligne de mire, la promotion éhontée du « wokisme », l’éradication de toute publication qui s’écarte de la « doxa », la pensée unique des « ministères de la vérité » et enfin le bourrage de crâne escrologique sur fond de « crise climatique » à contrôler d’urgence au prix de nouveaux impôts. Comme si c’était si simple…

Mais, avec l’avènement des IA’s sont apparus de nouveau biais, politiques et sociétaux. Sans qu’il soit besoin de directives. Ces biais font partie intégrante du fonctionnement des IA qui, pour fonctionner, ingurgitent des milliards de publications écrites, audios, vidéos, chat’s, mails et tout ce qu’il est possible d’imaginer.

Or, on sait que les résultats de l’IA (tous moteurs confondus), penchent à gauche. Au centre gauche pour être précis. Ce sont des faits, pas une opinion ! Tout simplement parce qu’ils sont le reflet exact des informations d’entraînement qui elles aussi penchent statistiquement « à gauche ». Où « démocrate » dans les pays « libres »… Il en est de même pour un certain nombre de thèmes scientifiques faisant « consensus » (un mot qui est justement le contraire de la science) et il ne faut pas s’étonner d’obtenir des réponses « dans le sens du vent ». Oui, il est bien difficile de faire émerger les visions divergentes ; le fameux « rapport minoritaire » due Philipp K. Dick. Il faut le savoir.

C’est le cas en particulier de nombre de moteurs de « chat » qui sont faits pour « discuter le bout de gras », au prix souvent d’inventions pures et simples. C’est  » Gérard pété « , au café du coin. On parle, on parle, on fait du vent, les mots s’envolent, et qu’importe… Et, quand on aborde des sujets sensibles, on obtient souvent une réponse « une main devant – une main derrière » : Heu… Je ne suis pas habilité à répondre à… Patati patata. La fameuse censure, sur fond de bruit de bottes.

Raison pour laquelle je n’utilise pas les produits Microdaube plus ou moins intégrés à leurs systèmes d’exploitation et leurs navigateurs et encore moins ne m’y abonne. Car bien entendu, c’est toujours payant. Je préfère réserver mes deniers à la seule IA qui me semble échapper à la censure lourde : Grok qui vient de passer à l’opus 2, intégrée à la version payante de X. Capable de beaucoup de choses et qui, pour la génération d’images, émule Flux par exemple, considérée comme la meilleure et dans le domaine public (sans censure).

C’est mon dernier mot, Jean-Pierre

Perplexity n’est pas un moteur de chat mais plutôt un moteur de recherche qui produit du contenu structuré. Mais il n’échappe pas, hélas, à ce travers de la « censure passive ».

Une nouvelle fois, comme pour le test de Chat GPT, j’ai lancé un court prompt anthropomorphe non par ego – encore que – mais parce que je peux ainsi en quelques secondes vérifier à coup sûr les informations. Et là, je tombais de ma chaise pour deux raisons.

La première : il faut bien reconnaître l’incroyable pertinence des résultats. Certains d’entre eux que j’avais même oubliés ! En dehors de ma date et mon lieu de naissance mais j’en suis seul responsable, publiant dans ce domaine n’importe quoi sur les réseaux depuis des années. N’empêche. C’est comme si le logiciel possédait dans sa manche et à disposition, l’intégralité du web et même beaucoup plus (livres, publications papier, conférence, etc).

La deuxième : l’apparition de mentions « environnementales » (en gras dans le texte) totalement inventées et pour tout dire insupportables ! Un maquillage de la réalité à la sauce « écologique » (à laquelle je ne suis pourtant pas insensible) mais que je n’ai jamais déclaré de cette façon et dans ces conditions. Il s’agit ni plus ni moins que d’une réécriture de la réalité ce qui en dit long sur les autres résultats des requêtes. C’est ce qu’on appelle « la fabrique du consentement », une technique d’ingénierie sociale bien connue et abondamment utilisée.

Bio de Francis Le Guen ?

Francis Le Guen est un explorateur, écrivain, photographe, réalisateur et spécialiste français des grottes sous-marines. Né le 25 juillet 1956 à Brest, France, il est particulièrement connu pour son expertise en plongée spéléologique, discipline qu’il a contribué à populariser en France et à l’international.

Dès son jeune âge, Le Guen se passionne pour la mer et la plongée, activités qui le mènent à explorer des systèmes de grottes subaquatiques à travers le monde. En tant que réalisateur, il a produit et dirigé plusieurs documentaires et séries télévisées axés sur l’exploration sous-marine et la protection de l’environnement marin. Parmi ses travaux les plus connus, on retrouve la série « Carnets de plongée », qui a été diffusée sur différentes plateformes et a reçu de nombreux éloges pour la qualité de ses images et l’importance de ses messages écologiques.

En outre, Francis Le Guen est également auteur de plusieurs livres dans lesquels il partage ses expériences et ses connaissances sur la plongée en grotte et les enjeux environnementaux liés aux zones aquatiques. Il est engagé dans la sensibilisation à la préservation des environnements sous-marins, travaillant avec différentes organisations et initiatives pour promouvoir la conservation marine.

Le Guen est récipiendaire de plusieurs prix et distinctions pour son travail, reflétant son impact significatif dans les domaines de l’exploration et de la conservation.

Fermez le ban ! Effectivement, un certain « nouvel ordre mondial » semble s’être mis en place. Dis comme çà, beaucoup me rangeront dans le sac fourre-tout des « complotistes » et autres « climato-septiques » (septiques du climat ?). Termes totalement idiots quand on y réfléchit un petit peu.

Je vous rassure, je pense que l’homme a bien été sur la Lune et qu’il a décollé d’une terre ronde et non plate… Je n’ai pour affirmer cela que mon bon sens, ma culture et mon esprit d’analyse. ce que tout un chacun faisait. Avant. Attention… Big Brother veille à votre bonheur, partout, tout le temps…

 

Publié le Sep 15, 2024

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