Choses vues. Août 2024

Un mois d’août sous le signe de la « canicule » : pensez, jusqu’à 32 °C à Marseille ! On se croirait en été. Les éco-anxieux et autres réchauffistes de tous poils (mouillés) s’en donnent à coeur joie sur les réseaux sociaux surchauffés : les cartes en deviennent noires à force d’être rouges. C’est sûr, on va tous mourir !

Jeudi 29 août

Suis pas commode le matin…

Je vais « déjeuner sur l’herbe ». Le premier qui dit : « Oh la vache ! » est radié.

Patrice Cabanel nous a quittés. Adieu l’ami.

Mardi 27 août

Attention à la notion de « réalité ». A la pensée unique, la doxa, l’ordre établi et autres consensus bidons… Les images que j’ai publiées en couverture et en profil « n’existent pas » : je les ai crées avec l’Intelligence artificielle. Encore ne suis-je qu’à 30% du niveau de réalisme que je peux obtenir avec ces outils. Pardon, au passage, à celles et ceux qui sont légitimement tombés dans le panneau. Plus sur le blog.

Dimanche 25 août

L’homme S !

: Canyon.

: Sa mère ?

: Sillages d’avions déformés par les jetstreams.

Vendredi 23 août

Avec applicateur 🙂

Plat du jour.

Jeudi 22 août

Gare du Havre. Cathédrale profane.

Mercredi 21 août

Flux : le meilleur de l’IA ? Chambres avec vue

« Comme toujours, après un court essai gratuit interviennent les options payantes mais pour un prix modeste, semble-t-il. Imaginez les immenses serveurs du cloud avec leurs gymnases remplis d’ordinateurs surpuissants munis de cartes graphiques rougeoyantes, moulinant les données rien que pour vous… J’ai lu quelque part (mais ne le répétez pas)… La suite ?

Mardi 20 août

Jean-marie Le Guen, mon père. A Honfleur. 98 ans !

Lundi 19 août

Oldies… Urban Sunrise. Sur la boutique.

Marre du bleu ? Voyez rouge !

Dimanche 18 août

Travail à la chaîne…

Samedi 17 août

Arrêtez vos singeries !

Vendredi 16 août

Alerte ! Mutation entre la grippe du cochon et celle du canard qui donne la terrible grippe des connards !

Jeudi 15 août

: La palette de peintre de mon père.

: Honfleur. Peinture murale 🙂

Contre la variole du singe et autres calembredaines, voici mon ordonnance : une écoute, à jeun. Au bout de quelques jours, vous serez guéris !

Mercredi 14 août

Ou des champs…

Gouvernement : position du démissionnaire. Histoire de se faire b…

Mardi 12 août

Canicule, cannibales, toussa…

Lundi 11 août

Golf miniature.

Vendredi 8 août

Au delà du titre magnifique, c’est l’histoire poignante d’une mère et d’un fils. L’autobiographie romancée de ce russe cosaque et tartare, un peu juif, et surtout français, comme l’auteur se définit lui-même. On voyage, dans les paysages et les sentiments, au long cours de cette vie trépidante tellement marquée par l’empreinte de la Mère.

Beaucoup d’humour et autodérision, aussi, où l’on retrouve (souvenirs d’enfance oblige) certains accents de Marcel Pagnol et même du Robert Benchley du « Supplice des week-ends »… Et toujours, la langue, puissante, riche d’évocations et de phrases bien senties.

« Pas plus bête qu’un autre, je sais qu’une telle affirmation ne manquera pas d’être interprétée comme il se doit, c’est-à-dire, à l’envers, par ces frétillants parasites suceurs de l’âme que sont les trois quarts de nos « psychothérapistes » actuellement en plongée. »

L’après-midi du 2 décembre 1980, l’écrivain Romain Gary se glissa un revolver Smith & Wesson 38 dans la bouche et se donna la mort. Comme il le faisait dire à l’un de ses personnages : « La vie n’est pas toujours une solution »… L’article sur le blog ?